Safari Photo

Tout d’abord, je n’ai pas tout à fait raisonné les bons liens entre l’exposition World Press Photo et notre safari photo. Je m’étais tournée davantage vers le côté technique tandis qu’il fallait plutôt se concentrer sur les catégories de l’exposition et les significations des œuvres retrouvées là-bas. Au début de la présentation du projet, j’avais pensé que le lien était le message porté des photos mais ensuite j’ai trouvé cela incompréhensible que l’on passe le même mot en prenant des photos dans les rues du Plateau Mont-Royal. Ceci fait que je n’ai pas intentionnellement pris cette photo parce qu’elle avait un message ou un thème spécifique que j’avais dans mon œuvre apprécié. Mais si je devais la catégoriser maintenant je la mettrais dans Environnement.

Ensuite, durant presque tout le safari photo, ma balance des blancs était en mode nuageux puisque cette journée-là, le temps était pluvieux et grisâtre. Justement, le temps nuageux qui cacher le soleil n’était pas très approprié pour faire des photographies à l’extérieur car il n’y avait pas une source de lumière assez forte. Du coup, j’étais obligée d’augmenter légèrement l’iso, ce qui peut rendre l’image un peu plus pixelisé. Heureusement, j’ai une préférence pour les images sous-exposées qui demande moins de lumière. Pour bien faire les réglages de ma vitesse, mon ouverture et mon iso, j’ai utilisé le posemètre. 

Enfin, dans cette image, j’ai fait une profondeur de champ pour faire ressortir le grillage vert de son environnement. Pour ce faire, j’ai mis mon ouverture à son plus petit chiffre et la vitesse à son plus grand numéro possible. Habituellement, le truc pour une meilleure profondeur de champ, c’est de décoller le sujet, exemple le grillage vert, à son environnement comme les arbres.

Puis, l’organisation de l’espace de cette photographie se voit par le décentrage et les diagonales du grillage mais c’est surtout le respect de la règle des tiers qui créer du mouvement rythme dans l’image. Finalement, j'ai choisi cette photographie à analyser parce qu'elle contient une profondeur de champs particulièrement intéressante.

Deuxièmement, comme je l’ai dit plus haut, la météo pluvieuse n’était pas avantageuse pour notre sortie extérieure. Ce temps nous a obliger de mettre notre balance de blancs en mode nuageux. Le manque de lumière m’a obligé d’augmenter l’iso. De plus, je devais faire mes réglages d’appareil photo par rapport à la température et à mon utilisation du zoom, ce qui donne une grande ouverture (petit chiffre), une grande vitesse et un iso un peu plus élevé que normalement. Justement, je n’ai pas fait de grand plan pour cette image ce qui privilégie une vitesse plus grande. Pour bien ajuster ces réglages pour cette photo j’ai utilisé le posemètre.  

Troisièmement, je n’ai pas appliqué de profondeur de champ dans cette photographie afin de pouvoir lire ce qui est écrit sur le carton.  

Cependant, plus la journée avancer, plus le temps se dégrader. C’est pourquoi, ma vitesse diminue et mon iso augmente davantage dans l’image 3 que dans la 1. Cela peut avoir des impacts sur mon image car une vitesse plus petite peut rendre mon image floue et pour contrer ce problème il faut avoir un iso plus grand, ce qui rend la rend un peu plus pixelisé. Cela n’empêche pas que j’ai fait mon possible en mettant la balance des blancs en mode nuageux. De plus, la photo n’a aucune profondeur de champ. 

Ensuite, lorsque je me suis placée pour prendre la photographie, j'ai aligné la ligne grise/noire de la feuille sur l'une des lignes de la règle des tiers, cela créer ainsi une organisation de l'espace dynamique. Ce décentrage m'a parmi de rendre mon image asymétrique.

APPRENTISSAGES : 

POINTS À AMÉLIORER : 

QUALITÉS DU PROFIL DE L'APPRENANTE :